Le Journal du Grand Montpellier a visité la Galerie Falc !

Le Journal du Grand Montpellier est venu à la Galerie Falc et a publié l’article suivant. Copyright Luce Menu Baraillé :

Jean-Jacques François expose au FALC

Dans la jolie galerie du FALC tenue par Ludovic Agboton-Faustin amoureux du Quai Branly, les grands tableaux du peintre sétois Jean-Jacques François côtoient les sculptures des maîtres africains du Togo, du Mali, du Congo. Certains collectionneurs sensibles à l’ accueil débonnaire de son propriétaire ont déposé des pièces amérindiennes et asiatiques  auprès des tableaux du peintre contemporain de la région. L’ensemble est réussi et étonnant. Le propriétaire du FALC raconte volontiers les coutumes et rituels autour des arts africains et invite au voyage à travers ses belles pièces.

Au côté des sifflets usuels africains et des appuis-nuque, des belles pièces de la maternité gwandusu du peuple Bambara malien, du masque Salimbé du peuple Dogon malien ou la statue de la maternité nimba, l’art détourné de Jean-Jacques François prend toute sa valeur  » avec la récupération, l’image, l’impact et donc l’influence de la publicité, mère de nos actuels quotidiens dans ses œuvres passerelles entre l’artiste véritable créateur et nos yeux d’observateur ». J.J. François

statue du Congo, chaque clou est déposé si le village rencontre des problèmes

Galerie Falc – 22 rue du terral , entre Place sainte-Anne et Boulevard du Jeu de Paume – Montpeliier

Mardi et mercredi de 14h30 à 19h – jeudi et vendredi de 10h à 12h et de 14h à 19h – samedi de 14h à 18h.

Tél : 06 41 42 17 77 / 04 34 46 97 39

2 réflexions sur “Le Journal du Grand Montpellier a visité la Galerie Falc !

  1. La galerie avec des pièces fortes de très grande qualité ( dignes de figurer dans un musée) mises en valeur par une scénographie sobre et apaisante est unique à Montpellier ! C’est réjouissant. Par contre je reste peu enthousiasmée par le choix des peintures, scènes urbaines aux couleurs criardes. Si le propos était de confronter le « sacré » au « profane », j’aurais préféré, dans le cadre d’une inauguration, focaliser sur la création africaine. Confronter l’art savant des objets de culte africains à l’art populaire de récupération si inventif, ludique, truculent ! (objets bricolés avec cannette de soda et /ou portraits gouachés sous verre) aurait permis de mieux porter le projet. Une galerie, en tout cas, à suivre …..

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